Dans la présentation de l'annexe à son étude sur les parodies d'opéras Judith Le Blanc fait état de l'air du Péril. De son commentaire, un extrait significatif :
https://www.nakala.fr/nakala/data/11280/988ddd3 pages 10 et 11
« Dans toute comédie en vaudevilles ou opéra-comique, l’opéra est donc présent, ne serait-ce qu’à travers ces vaudevilles récurrents. L’air du Péril, l’un des seuls airs-vaudevilles qui ne soit issu ni d’un divertissement, ni d’un prologue, incarne paradoxalement le paradigme ou le symbole de cette interpénétration constante entre l’opéra et son petit cousin de la Foire. »
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